In the Central African Republic, medias pay heavily for the unfolding crisis. From March 2013 to the end of May 2014, nearly 50 events against journalist or support staff have been reported, ranging from moral pressure to assasination.
(Continues in French)Pourtant, dans le contexte actuel, l’existence d'une communauté médiatique plus professionnelle et l’accessibilité permanente à une information de meilleure qualité sont autant de conditions nécessaires pour conduire le pays à la paix. Chacun - journalistes, patrons de presse, représentants des médias, opérateurs internationaux de soutien aux médias – souhaite pouvoir jouer son rôle dans des conditions de sécurité acceptables.
Les organisations professionnelles des médias centrafricains, les opérateurs internationaux de soutien aux médias et les associations de défense du droit à l'information et des journalistes dénoncent cette situation inacceptable. Elles ont décidé de s'unir pour diffuser un communiqué dans lequel elles appellent donc le Gouvernement de Transition, les autorités civiles, militaires, religieuses, traditionnelles ainsi que les représentants de la communauté internationale à procéder à un examen urgent de la situation des journalistes en Centrafrique et à tout mettre en œuvre pour respecter et faire respecter le droit à l’information, garantir la libre circulation des nouvelles et protéger les professionnels des médias dans l’exercice de leur travail.
Lire le communiqué : ici